Map Works
Installations
Installations

Plier la mer / To Fold the Sea
2022
25 numbered and signed copies
Printed on natural white paper (Rives Tradition 250g)
21x29,7cm
100€ print only
120€ with white wood frame
ORDER ON https://chloemossessian.bigcartel.com/
2022
25 numbered and signed copies
Printed on natural white paper (Rives Tradition 250g)
21x29,7cm
100€ print only
120€ with white wood frame
ORDER ON https://chloemossessian.bigcartel.com/
La Traversée
2022
Installation
Cartes géographiques de la mer Méditerranée découpées et épinglées au mur
Dimensions variables
Cette installation matérialise la traversée d’Elizabeth et Missak Mossessian et leurs deux enfants, Gayané et Garabet, entre Beyrouth et Marseille en 1929. Dans la collecte de cartes de la mer Méditerranée (cartes routières, atlas anciens) il y a à la fois l’espace géographique de cette mer comme frontière, mais également l’aspect historique de cartes anciennes montrant des pays et des noms d’un autre temps. L’installation est accrochée sur la hauteur et longueur d’un mur. De loin, on regarde une grande masse de rubans bleus. En s’approchant, on se rend compte qu’il s’agit de papiers adroitement découpés dont les détails des formes et des noms révèlent une géographie moins familière, celle de la mer une fois les terres arrachées.
2022
Installation
Cartes géographiques de la mer Méditerranée découpées et épinglées au mur
Dimensions variables
Cette installation matérialise la traversée d’Elizabeth et Missak Mossessian et leurs deux enfants, Gayané et Garabet, entre Beyrouth et Marseille en 1929. Dans la collecte de cartes de la mer Méditerranée (cartes routières, atlas anciens) il y a à la fois l’espace géographique de cette mer comme frontière, mais également l’aspect historique de cartes anciennes montrant des pays et des noms d’un autre temps. L’installation est accrochée sur la hauteur et longueur d’un mur. De loin, on regarde une grande masse de rubans bleus. En s’approchant, on se rend compte qu’il s’agit de papiers adroitement découpés dont les détails des formes et des noms révèlent une géographie moins familière, celle de la mer une fois les terres arrachées.
The Suns I Cannot See
2017-2018
Installation
The moth and the fishes are in their place,
The suns I see and the suns I cannot see are in their place,
The palpable is in its place and the impalpable is in its place.
Walt Whitman, Leaves of Grass Brooklyn, New York, 1855
L’installation The Suns I Cannot See se propose de matérialiser ma perception du corps de l’autre dans la vie citadine contemporaine : chaque frise suspendue représente une promenade, et la longueur de chaque promenade se mesure par le nombre de photographies prises du dos des passants, créant ainsi une temporalité individuelle et subjective dans le rythme de la ville de New York.
Each line represents a walk in a neighborhood of New York City. The length of each walk is measured by the number of photographs taken, as to create an individual and subjective temporality in the City’s own rhythm.
2017-2018
Installation
The moth and the fishes are in their place,
The suns I see and the suns I cannot see are in their place,
The palpable is in its place and the impalpable is in its place.
Walt Whitman, Leaves of Grass Brooklyn, New York, 1855
L’installation The Suns I Cannot See se propose de matérialiser ma perception du corps de l’autre dans la vie citadine contemporaine : chaque frise suspendue représente une promenade, et la longueur de chaque promenade se mesure par le nombre de photographies prises du dos des passants, créant ainsi une temporalité individuelle et subjective dans le rythme de la ville de New York.
Each line represents a walk in a neighborhood of New York City. The length of each walk is measured by the number of photographs taken, as to create an individual and subjective temporality in the City’s own rhythm.
My Blues, 2017, cut papers
Algue, 2016, photograph
Entre Nous
2015-2016 Installation "Or to take arms against a sea of troubles... – Shakespeare, Hamlet. Bien s’armer contre une mer de soucis et de contraintes, regarder cette mer en face, la contempler, la visualiser, oser concevoir sa forme pour mieux espérer s’affranchir de son poids, tel est la tâche artistique qu’entreprend ici Chloé Mossessian avec une maturité d’exécution certaine. La pièce principale est dominée par une masse de rubans bleus accrochés sur toute la hauteur et la longueur de son plus grand mur. En s’en rapprochant, on se rend compte qu’il s’agit de bouts de papier adroitement découpés : des morceaux de cartes géographiques qui représentent, tous, une partie de l’océan Atlantique. C’est au-delà de ces eaux qu’habite l’être aimé, une distance tant réelle que symbolique que l’artiste matérialise afin de la démystifier." – Makis Malafékas |